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vendredi 30 novembre 2018


Enfants : quelles règles
pour la « consommation d’écrans » ? 

SOURCE : CPAM

Pendant les vacances scolaires, et en particulier celles de Noël, les enfants ont tendance à consommer plus d’écrans qu’à leur habitude : dessins animés à la télévision, jeux de console seuls ou avec les cousins et pour les plus grands réseaux sociaux. 

Sans diaboliser ces pratiques qui sont maintenant entrées dans la vie quotidienne, pensez à instaurer et à leur inculquer quelques règles. 

Quelles sont les limites et règles objectives à respecter pour une consommation raisonnable des écrans ?


Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, coauteur de l’avis de l’Académie des sciences « L’enfant et les écrans », propose la règle « 3-6-9-12 » articulée autour de quatre étapes essentielles de la vie des enfants : la maternelle, l’entrée au CP, la maitrise de la lecture et de l’écriture puis l’entrée au collège.

Pas de TV avant 3 ans

L’enfant construit ses repères spatiaux dans les interactions avec l’environnement qui impliquent tous  ses  sens. Il vaut donc mieux éviter la télévision et les DVD ainsi que les tablettes tactiles qui ne doivent être utilisées qu’avec l’accompagnement d’un adulte.

Pas de console de jeu personnelle avant 6 ans

L’enfant a besoin de découvrir toutes ses possibilités sensorielles et manuelles. Evidemment pas d’écran personnel dans sa chambre. Etablissons des règles claires sur les temps d’écran et respectons les âges indiqués pour les programmes.  De même, il est conseillé de préférer des jeux vidéo qui se jouent à plusieurs

Internet après 9 ans

De 6 à 9 ans, l’enfant a besoin de découvrir les règles du jeu social. Donc les règles à respecter sont les mêmes que de 3 à 6 ans et il est important que le jeu sur console reste un acte social partagé avec la famille ou les amis.

Les réseaux sociaux après 12 ans

De 9 à 12 ans, l’enfant a besoin d’explorer la complexité du monde. C’est le moment de lui parler du droit à l’image et à l’intimité. Vous pouvez aussi définir avec votre enfant à quel âge il aura son téléphone mobile.

Après 12 ans

L’enfant commence à s’affranchir des repères familiaux. Les enfants surfent seuls sur la toile, il convient tout de même de fixer des règles en termes d’horaires à respecter et des protections adéquates sur l’utilisation de l’ordinateur et du web (filtrage parental définissant les horaires d’accès, les programmes et sites accessibles).





Un p'tit air de fête de fin d'année


Enfants et écrans : quelques conseils pratiques pour les parents

Publié le 28 novembre 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)




Alors que la proposition de loi visant à lutter contre l'exposition précoce des enfants aux écrans a été adoptée en première lecture par le Sénat le 20 novembre 2018, vous vous posez peut-être des questions sur l'attitude à adopter en tant que parent quand votre enfant regarde la télévision ou réclame, après l'école, la tablette ou votre smartphone pour regarder ses programmes favoris ou faire des jeux ? Face à vos questions, le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) vous répond !


Avant 3 ans

Selon le CSA, la télévision n'est pas adaptée aux enfants de moins de 3 ans, le développement d'un jeune enfant passant par la motricité et la capacité à interagir avec les objets (jouets, par exemple) qu'il rencontre et les adultes qui l'entourent (parents, frères et sœurs par exemple). En effet, la télévision risque d'enfermer les enfants dans un statut de spectateurs à un moment où ils doivent apprendre à devenir des acteurs du monde qui les entourent.

Le CSA précise également que, lorsque des enfants de moins de 3 ans regardent néanmoins la télévision, ils ne comprennent pas les informations reçues (images et sons) ce qui peut nuire à leur développement et contribuer à leur agitation.

 

Entre 3 et 6 ans

À partir de 3 ans, il existe des émissions qui peuvent stimuler certaines capacités de l'enfant (mémoire ou reconnaissance des lettres de l'alphabet par exemple). Mais attention à la durée dit le CSA ! En effet, 10 minutes passées devant un écran de télévision représentent déjà un temps de concentration élevé. Il est donc conseillé :
  • de privilégier des sessions courtes, avec la possibilité de revoir plusieurs fois le même programme ;
  • d'éviter de zapper entre plusieurs émissions.

 

Entre 6 et 10 ans

À partir de 6 ans, les enfants sont en capacité de mieux comprendre le réel. Ils pourraient néanmoins vouloir imiter ce qu'ils ont vu, d'où la nécessité de leur expliquer de ne pas reproduire forcément ce qui est vu à la télévision.
Attention également à respecter la sensibilité des enfants en privilégiant des programmes spécifiques à leur âge (animation, films pour enfants, émissions éducatives ou documentaires), tout en limitant la durée des séances et en choisissant avec eux les émissions. Dans la mesure du possible, essayez aussi, en tant que parents, de regarder la télévision avec vos enfants.

Après 10 ans

À cet âge, les enfants veulent souvent accéder de manière plus autonomes aux images, il est donc important de les accompagner dans le choix de ces programmes pour les aider à devenir des téléspectateurs actifs.

Et si les adolescents souhaitent parfois visionner des contenus violents qui peuvent être facilement accessibles, maintenez le dialogue avec eux tout en continuant à leur apprendre à choisir les programmes les plus adaptés à leur âge.





jeudi 29 novembre 2018

Réunion conseil municipal








Fruits, légumes et poissons de novembre

Source : Ministère de l’agriculture

 

Pour respecter le cycle de la nature, remplissez votre panier de produits frais. Vous concilierez ainsi hygiène, budget et plaisir. 
 
Fruits : Clémentine, coing, poire, pomme, châtaigne.




Légumes : Betterave, brocoli, carottes, céleri, courge, chou, chou de Bruxelles, chou-fleur, potiron, navet, fenouil, épinard, endive, salsifis, panais, poireau.


Poissons, coquillages et crustacés : Calmar, congre, coquille Saint-Jacques, églefin, grondin rouge, hareng, lieu jaune et noir, merlan, rouget barbet, tacaud, bar de ligne, huîtres, bulot.






EHPAD - HEBERGEMENTS TARIFS

Hébergement pour personnes âgées : les tarifs 2018 disponibles en ligne

Publié le 28 novembre 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)


Vous recherchez un établissement pour un parent dépendant et vous souhaitez savoir combien cela va coûter ? 
Le site internet pourlespersonnesagees.gouv.fr met à votre disposition un annuaire des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Éhpad) et des résidences autonomie en indiquant leurs principales caractéristiques notamment celles concernant les prix pratiqués en 2018.


Les tarifs 2018 des Éhpad (anciennement dénommés maison de retraite) et des résidences autonomie sont consultables sur l'annuaire du portail pour-les-personnes-agees.gouv.fr

Le prix moyen d'un hébergement permanent en Éhpad en 2017 était de 1 953 € par mois. Cela signifie que la moitié des Éhpad facturait un prix mensuel inférieur à 1 953 € et que l'autre moitié facturait un prix supérieur à 1 953 €. Ce prix prend en compte le coût de l'hébergement pour une chambre seule et le tarif dépendance correspondant au tarif GIR 5-6 (c'est-à-dire le prix minimum à payer par tous les résidents d'un Éhpad).


Les écarts de prix entre les établissements peuvent être importants. Ainsi, 10 % d'entre aux facturent un prix mensuel inférieur à 1 674 € par mois et 10 % facturent un prix supérieur à 2 819 €.

Différents facteurs expliquent la variabilité des prix.
  • Le statut juridique :
    • public : 1 818 € ;
    • privé non lucratif : 1 962 € ;
    • privé commercial : 2 678 € ;
     
  • La zone d'implantation géographique :
    • dans une commune rurale : 1 856 € ;
    • dans une ville isolée : 1 865 € ;
    • dans une ville-centre : 1 949 € ;
    • dans une banlieue : 2 223 €.

    Le prix d'une place en Éhpad en hébergement permanent est plus élevé dans des départements très urbanisées comme Paris, les Hauts-de-Seine, les Yvelines, le Val-d'Oise, l'Essonne, le Val-de-Marne, les Alpes-Maritimes et les Bouches-du-Rhône.
     
  • Et aussi : l'habilitation ou non à l'aide sociale, l'ancienneté du bâti, le nombre de places.

Plusieurs aides publiques peuvent venir diminuer le coût de la facture en Éhpad :

Depuis décembre 2016, la loi d'adaptation de la société au vieillissement oblige les Éhpad à transmettre leurs prix au moins une fois par an à la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) qui les affiche ensuite dans l'annuaire du portail pour-les-personnes-agees.gouv.fr afin de renforcer la transparence de l'information sur les prix pratiqués dans les Éhpad.




Les établissements doivent transmettre leurs prix au plus tard le 30 juin de chaque année et sont invités à les mettre à jour en continu à chaque changement. En 2018, 89 % des Ehpad et 68 % des résidences autonomie ont actualisé leurs prix affichés dans l'annuaire.

mercredi 28 novembre 2018

mdph36.fr : un nouveau site référence sur le handicap

La Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) de l'Indre 
a ouvert son site web 
le 28 novembre 2018. 
 
Une nouvelle adresse utile à destination des personnes concernées, des familles et des professionnels, www.mdph36.fr une version facile à lire et à comprendre un site sur lequel l'accessibilité est un critère primordial.
 
En résumé, un outil indispensable qui va simplifier la vie de tous les utilisateurs. 
 
La MDPH se met donc à l’heure du numérique pour rendre plus accessible le service public afin d'obtenir des informations facilement et rapidement.
 
Utiliser les potentialités du numérique, c'est pour la MDPH de l'Indre, gagner en qualité et en efficacité.
 
 
En quelques clics, une mine d'informations à la portée de tous les utilisateurs :
  • Des informations générales sur la MDPH, sur les droits et les aides, comment accéder aux services et accompagnements spécialisés, comment se former, se loger, travailler, se déplacer, faire du sport, accéder aux loisirs, à la culture,
  • Un espace personnel pour chaque usager de la MDPH afin de contacter les services et d'obtenir les informations mises à jour quotidiennement et de manière automatisée sur son dossier et notamment :
- les droits en cours de validité
- les demandes en cours d'instruction
- le dépôt de documents/justificatifs
 
 
Le site garantit la confidentialité des données avec une gestion de mot de passe sécurisée.
 
Sans oublier :
  • Un annuaire pour retrouver toutes les coordonnées des établissements, des services, des associations,
  • Des publications, des actualités et l'agenda des manifestations organisées dans le département présentés sous forme de liste ou de cartographie,
  • Un portail partenaire pour faciliter les échanges entre la MDPH et les professionnels.
www.mdph36.fr : un site référence sur le handicap dans l’Indre, facile et accessible, il est également responsive puisqu’il est consultable depuis tous types de supports, ordinateur, tablette, smartphone.
 
 
 

samedi 24 novembre 2018


Intoxication au monoxyde de carbone

Chaque année, au cours de la période de chauffe, plusieurs milliers de personnes sont victimes d’une intoxication au monoxyde de carbone (Voir le Bulletin de surveillance des intoxications par le monoxyde de carbone). 

La prévention consiste à faire adopter les bons gestes et à informer sur les règles de sécurité concernant le fonctionnement des appareils de chauffage, des cheminées et des moteurs à combustion interne.

Les conseils

Pour limiter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone au domicile, il convient de :
  • avant chaque hiver, faire systématiquement vérifier et entretenir les installations de chauffage et de production d’eau chaude et les conduits de fumée par un professionnel qualifié ; 
  • tous les jours, aérer au moins dix minutes, maintenir les systèmes de ventilation en bon état de fonctionnement et ne jamais boucher les entrées et sorties d’air ; 
  • respecter les consignes d’utilisation des appareils à combustion : ne jamais faire fonctionner les chauffages d’appoint en continu ;
  • placer impérativement les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments ; ne jamais utiliser pour se chauffer des appareils non destinés à cet usage : cuisinière, brasero, barbecue, etc.

Les effets

Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz asphyxiant indétectable : il est invisible, inodore et non irritant. Il se diffuse très vite dans l’environnement et peut être mortel en moins d’une heure. L’intoxication au monoxyde de carbone  se produit après l'inhalation de ce gaz, issu de la combustion des matières organiques dans des conditions d’apport insuffisant en oxygène, ce qui empêche l'oxydation complète en dioxyde de carbone (CO2). Le monoxyde de carbone provoque l'intoxication en se fixant sur les globules rouges (via la respiration et les poumons) et en empêchant ces globules de véhiculer correctement l'oxygène dans l'organisme. 

Maux de têtes, nausées, vomissements, sont les symptômes qui doivent alerter. Si ces symptômes sont observés chez plusieurs personnes dans une même pièce ou qu’ils disparaissent hors de cette pièce, cela peut être une intoxication au monoxyde de carbone. Dans ce cas, il est nécessaire d’aérer, d’évacuer le lieu et d’appeler les urgences en composant le 15 ou le 112. 




La majorité des décès dus aux émanations surviennent l’hiver

Avec le froid, il est légitime d’augmenter le chauffage. Du monoxyde de carbone ou CO, gaz toxique résultant d’une mauvaise combustion, peut alors se dégager des appareils de chauffage, des cheminées et des moteurs à combustion interne (fonctionnant au gaz, au bois, au charbon, à l’essence, au fuel ou encore à l’éthanol). Plus des trois quarts des intoxications ont ainsi lieu pendant la saison de chauffe, d’octobre à mars. 

Cette intoxication est la première cause de mortalité par toxique en France. Plus des trois quarts des Français équipés d’appareil de chauffage à combustion ne sont pourtant pas conscients d’avoir à leur domicile des appareils susceptibles d’émettre du CO. Selon les données de l’Institut de veille sanitaire, près de huit intoxications au monoxyde de carbone (CO) sur dix ont lieu de manière accidentelle dans l’habitat. La chaudière y est la source d’intoxication la plus fréquente.



En période de grand froid, quelles recommandations sanitaires ?
Publié le 21 novembre 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)



Chair de poule, frissons, engourdissement des extrémités du corps... En période de « grand froid » quels sont les bons réflexes à adopter au quotidien ? Quelques éléments de réponses avec Santé Publique France.



 Tout d'abord, il est demandé de porter une attention accrue aux enfants, aux personnes souffrant de maladies cardiovasculaires ou respiratoires et aux personnes âgées.



Par ailleurs, Santé Publique France donne également quelques conseils pratiques en préconisant en particulier :
  • de ne pas surchauffer son appartement et de vérifier sa bonne ventilation pour éviter les risques d'intoxication au monoxyde de carbone ;
  • de limiter les sorties ;
  • de se vêtir convenablement notamment au niveau des pieds, des mains et de la tête tout en se couvrant le nez et la bouche pour respirer moins d'air froid ;
  • d'éviter les efforts physiques ;
  • de ne pas consommer d'alcool ;
  • d'appeler le 115 pour l'accueil des personnes sans abri dans la rue.





Selon Météo France, un épisode de grand froid se caractérise à la fois par sa persistance, son intensité et son étendue géographique avec des températures atteignant des valeurs nettement inférieures aux normales saisonnières.



jeudi 22 novembre 2018

Renouvellement pièces d'identités


Congés de fin d’année, n’attendez pas le dernier moment pour renouveler votre CNI ou votre passeport

 
 
Vous envisagez un voyage à l’étranger à l’occasion des congés de fin d’année ?

Prenez vos précautions :
1. vérifiez les dates d’expiration de votre carte d’identité ou de votre passeport ;

2. faites les renouveler dès à présent, si nécessaire, auprès de l’une des mairies du département équipée d’un dispositif de recueil ;

3. pour gagner du temps, faites une pré-demande en ligne sur le site de l’ANTS (www.ants.gouv.fr ).

Pour cela utilisez votre compte « FRANCE CONNECT » (utilisation de votre identifiant et mot de passe validés pour votre accès aux sites : impots.gouv.fr, ameli.fr, msa.fr, identifiant numérique de La Poste, identifiant « mobile connect et moi »).




Quel est l’avantage à utiliser votre compte « FRANCE CONNECT » ?

- vous n’avez pas à créer un nouveau compte sur le site de l’ANTS (vous utilisez un compte existant)

- vos identifiant et mot de passe utilisés pour l’accès aux sites partenaires sont reconnus

-France Connect ne stocke pas vos données personnelles. Vous êtes informé par un courriel à chaque connexion.




Rappel des mairies du département de l’Indre équipées d’un dispositif de recueil :
-mairie d’Aigurande
-mairie d’Argenton-sur-Creuse
-mairie du Blanc
-mairie de Buzançais
-mairie de Châteauroux
-mairie de Châtillon-sur-Indre
-mairie de Déols
-mairie d’Issoudun
-mairie de La Châtre
-mairie de Levroux
-mairie du Poinçonnet
-mairie de St Michel en Brenne
-mairie de Valençay

SEMAINE EUROPÉENNE DE LA RÉDUCTION DES DÉCHETS
 
Du 17 au 25 novembre 2018

La SERD  (Semaine Européenne de Réduction des déchets) permet, en France et dans toute l’Europe, de sensibiliser tout un chacun à la nécessité de réduire la quantité de déchets et de consommer mieux.



Cinq grands types d’actions de la réduction des déchets sont portés par la SERD :
 


 Quelques outils de sensibilisation :

  Les deux grandes thématiques mises en avant en 2018 sont :
  • L’alimentation durable avec une toute nouvelle exposition sur le sujet ;

mardi 20 novembre 2018

Vaccin - Grippe - Prévention


Prévenir la grippe : la vaccination et les bons gestes

14 novembre 2018- ameli.fr - assurance maladie
 
 
La vaccination est le premier geste à faire pour se protéger de la grippe. Quatre vaccins grippaux sont disponibles pour la saison 2018/2019. 
Si la vaccination ne permet pas toujours d’éviter la grippe, elle réduit le risque de complications graves ou de décès. Des mesures d'hygiène complémentaires permettent de limiter la propagation du virus grippal lors d'une épidémie. 
 
 

Qu’est-ce que la vaccination contre la grippe ?

Voici quelques repères sur la vaccination contre la grippe saisonnière.



 A qui est destiné le vaccin contre la grippe ?

Le vaccin de la grippe est particulièrement recommandé à certaines catégories de personnes.
  • La vaccination contre la grippe saisonnière est fortement recommandée pour les personnes les plus fragiles (personnes âgées de 65 ans et plus, femmes enceintes, personnes atteintes de certaines affections chroniques, personnes obèses ayant un IMC ou Indice de Masse Corporelle supérieur ou égal à 40). Le virus est plus dangereux pour elles car il peut entraîner des complications graves.
  • La vaccination des soignants et des personnes en contact régulier avec des personnes présentant un risque de grippe sévère (personnes âgées, nourrissons, malades...) est vivement conseillée.
  • La vaccination contre la grippe de l'entourage familial des nourrissons de moins de 6 mois particulièrement fragiles est recommandée.



Faut-il se faire vacciner chaque année contre la grippe ? 

Oui. En effet, les souches virales rencontrées varient d’une année à l’autre. Il est donc indispensable de se faire vacciner contre la grippe chaque année grâce à un nouveau vaccin élaboré pour protéger contre les virus susceptibles de circuler.

Une seule injection annuelle de vaccin grippal suffit, mais pour les enfants de moins de neuf ans, jamais vaccinés contre la grippe, deux injections, à quatre semaines d’intervalle, sont nécessaires.
Il faut environ deux semaines après le vaccin grippal pour être protégé.
 
 
 
Quels vaccins contre la grippe ?
Quatre vaccins grippaux sont disponibles cette année : INFLUVACTETRA°, VAXIGRIPTETRA°, FLUARIXTETRA° (vaccins tétravalents protégeant contre 4 souches de virus) et INFLUVAC° (vaccin trivalent protégeant contre 3 souches).
Ces vaccins sont utilisables chez la femme enceinte à tout stade de la grossesse.




Qui peut vacciner contre la grippe ?
Les professionnels de santé habilités à vacciner contre la grippe sont :
  • un médecin ;
  • une sage-femme (pour les femmes enceintes et l’entourage du nouveau-né) ;
  • un(e)infirmier(e) sur tout le territoire français, ou un pharmacien dans 4 régions expérimentatrices (Auvergne- Rhône-Alpes, Nouvelle Aquitaine, Hauts de France et Occitanie) :
    • sans prescription médicale préalable et sur présentation de l’imprimé de prise en charge, pour les personnes de 18 ans et plus qu’ils aient été vaccinés précédemment ou non (y compris les femmes enceintes), 
     
    • sur prescription médicale renseignée sur le bon de prise en charge pour enfants jusqu’à 18 ans ou pour les personnes de plus de 18 ans qui ont déjà fait une réaction allergique sévère à l'ovalbumine ou à une vaccination antérieure.
     
Quels sont les effets secondaires des vaccins contre la grippe ? 

Les effets indésirables des vaccins contre la grippe sont bénins et transitoires : la personne vaccinée peut ressentir une douleur accompagnée de rougeur au point d'injection, des douleurs musculaires, des maux de tête accompagnés d'une fièvre légère.
Les réactions allergiques plus graves sont extrêmement rares.
 
 
 
Mon vaccin contre la grippe est-il pris en charge par l'assurance maladie ?
L’Assurance Maladie prend en charge le vaccin contre la grippe saisonnière à 100 % pour les personnes les plus exposées aux risques de complications ou pour l'entourage de celles-ci :
  • les personnes âgées de 65 ans et plus ;
  • les femmes enceintes quel que soit le trimestre de grossesse ;
  • les personnes atteintes de certaines affections chroniques ;
  • les personnes obèses ;
  • l’entourage familial de nourrissons de moins de 6 mois présentant des facteurs de risque de grippe grave ;
  • les personnes séjournant dans un établissement de soins de suite ainsi que dans un établissement médico-social d’hébergement quel que soit l’âge ;
  • certains professionnels de santé libéraux.


Pour connaître les personnes ciblées par les recommandations vaccinales, consultez le calendrier vaccinal disponible sur le site du Ministère des Solidarités et de la Santé, ou demandez conseil à votre médecin traitant.




L'injection du vaccin grippal est remboursée au taux habituel, sauf pour les patients pris en charge à 100 % au titre d’une affection de longue durée (ALD) pour laquelle la vaccination est recommandée.




MAIRIE DE ROUVRES LES BOIS

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