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lundi 30 septembre 2024

OCTOBRE ROSE - DEPISTAGE CANCER SEIN

 

Dépistage du cancer du sein : pour qui ? Quand ? Comment ?

Source : AMELI - Publié le

Le 1er octobre, l’Institut national du cancer (INCa) lance, comme chaque année, sa campagne d’information à destination des femmes, à l’occasion du mois de mobilisation sur la prévention et le dépistage du cancer du sein.

Pourquoi participer au dépistage organisé du cancer du sein ?

Le dépistage organisé du cancer du sein est proposé tous les 2 ans, sur invitation de l’Assurance Maladie, aux femmes de 50 à 74 ans qui ne présentent ni symptôme ni facteur de risque. Le dépistage est le meilleur moyen de s'assurer qu'il n'y a rien ou de détecter un cancer précoce, et d’augmenter ainsi les chances de guérison. Grâce au dépistage, plus de 10 000 cancers agressifs sont dépistés chaque année et ainsi, peuvent être soignés plus tôt. 

En quoi consiste le dépistage ?

Il s’agit d’une mammographie (1) qui est prise en charge à 100 % par les régimes d’assurance maladie. Si des examens complémentaires sont nécessaires, ils seront pris aussi en charge dans les conditions habituelles de remboursement.

La participation au programme de dépistage organisé du cancer du sein permet de bénéficier de garanties de qualité et de sécurité (seconde lecture, formation spécifique des manipulateurs et des radiologues, contrôle du matériel tous les 6 mois).

À noter : dès 25 ans, un examen annuel des seins (palpation) par un médecin traitant ou un gynécologue est recommandé.

Comment prendre un rendez-vous avec un radiologue agréé ?

Pour réaliser un dépistage, il convient de prendre un rendez-vous avec un radiologue agréé près de chez soi. La liste des radiologue est disponible dans l'article « Le dépistage organisé du cancer du sein pour les femmes entre 50 et 74 ans ».

 

Agir sur ses habitudes de vie pour réduire le risque de développer un cancer

Le dépistage précoce est un des 2 leviers majeurs de lutte contre le cancer du sein, avec la prévention. Chaque année, environ 20 000 cancers du sein sont attribuables à nos habitudes de vie (2). Participer au dépistage et adopter quotidiennement des gestes simples permettent de diminuer son risque de cancer du sein. 

Les gestes simples recommandés pour réduire le risque de cancer du sein sont :


 

Savoir c’est pouvoir agir

Pour guider les femmes dans leur décision de se faire dépister, l’Institut national du cancer met à disposition :

En savoir plus sur le cancer du sein

samedi 28 septembre 2024

BRONCHIOLITE DU NOURRISSON

 La bronchiolite du nourrisson : comment s'en prémunir cet hiver ?

Publié le 25 septembre 2024 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Tous les hivers, la bronchiolite touche environ 30 % des nouveau-nés et nourrissons

Pour bien se préparer, le ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités renforce sa campagne de sensibilisation. 

Quels sont les bons gestes à adopter et les traitements disponibles ? Service-Public.fr vous répond.

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Image 1Crédits: Kaspars Grinvalds - stock.adobe.com

À destination majoritairement des parents mais aussi de tous, cette campagne rappelle les bons gestes à adopter pour limiter la contamination mais aussi être attentifs et agir si des premiers symptômes apparaissent.

 

Depuis fin 2023, un vaccin destiné aux femmes enceintes et des traitements préventifs pour les nourrissons existent :

  • une injection du vaccin Abrysvo peut être administré lors de la grossesse, dans la période entre les 7e et 8e mois. Le vaccin permet à la mère de développer des anticorps transmis directement à l'enfant, qui sera immunisé de sa naissance à ses 6 premiers mois ;
  • 2 traitements préventifs peuvent être donnés au nourrisson : Synagis, destiné aux nouveau-nés prématurés ou à haut risque, atteints de malformations cardiaque ou pulmonaire ; Beyfortus, destiné aux nouveau-nés et aux nourrissons de moins d’1 an.

Ces produits sont disponibles en pharmacie et en maternité (excepté le Synagis, disponible uniquement en maternité).

Ils sont pris en charge à 100 % par l’Assurance maladie, sous réserve de quelques spécificités.

À savoir  

80 % des parents ont pratiqué un traitement depuis sa mise en place et environ 5 800 hospitalisations pour bronchiolite ont pu être évitées.

ACTIVITES PHYSIQUES - BOUGER AU QUOTIDIEN

Activités physiques simples du quotidien pour bien vieillir

Source : ARS - Centre Val de Loire - juillet 2024

Pour rester en forme plus longtemps et préserver son autonomie, il est important de pratiquer une activité physique régulière. Cela peut-être une activité sportive bien sûr, mais tous les petits mouvements de la vie quotidienne comptent !

Marcher, jardiner, bricoler, jouer avec ses petits-enfants… Autant de petits gestes qui permettent de rompre avec la sédentarité et qui sont bénéfiques pour la santé, quel que soit l’âge pour :

  • se protéger de certaines maladies (hypertension artérielle, maladies cardiovasculaires, diabète, ostéoporose...),
  • réduire le risque de chutes et leur gravité,
  • prévenir la prise de poids,
  • et préserver l’autonomie en maintenant son capital musculaire, osseux mais aussi cérébral.

 

« Activité physique » et « sport », ce n’est pas tout à fait la même chose.

En effet, l’activité physique désigne tout mouvement du corps qui fait travailler les muscles : marcher, danser, mais aussi bricoler, jardiner, faire son ménage, jouer avec les enfants…Pour récapituler, en un mot : bouger !

Alors que le sport est une forme d’activité physique plutôt intense, soumise à des règles, et souvent pratiquée dans une recherche de résultat, de performance, de compétition. Pour rester en bonne santé, il faut profiter de chaque occasion de la vie quotidienne pour bouger et être actif.

Pour rester en forme, il est important de pratiquer une activité physique régulière.
L’OMS recommande aux personnes de plus de 65 ans au moins 30 minutes d’exercice modéré par jour (vélo, marche, jardinage, nettoyage…).
Ces 30 minutes peuvent être réparties par tranches de 10 minutes tout au long de la journée.

Des exercices d’équilibre et de résistance sont également recommandés pour réduire le risque de chute.

 



L’activité physique est indispensable pour lutter contre la sédentarité.

L’activité physique est certes bénéfique, mais il faut également lutter contre la sédentarité. La sédentarité correspond au comportement générant une dépense énergétique proche de celle qui correspond au repos (ce qui équivaut au temps passé assis dans la journée : au travail, dans les transports, lors des loisirs, devant un écran). Le temps passé en position assise peut être considéré comme un facteur de risque essentiel pour le développement de maladies chroniques. Même si les 30 minutes d’activité physique quotidienne recommandées par l’OMS sont respectées, la position assise prolongée peut, à elle seule, entraîner des effets néfastes sur la santé. Ainsi, diminuer le temps passé en position assise ou couchée serait également bénéfique et complémentaire de la promotion de l’activité physique.

vendredi 27 septembre 2024

BOTULISME ALIMENTAIRE - DANGER

 Le botulisme alimentaire : c'est quoi ? 

SOURCE : ARS - Centre Val de Loire - 13 septembre 2024

Le botulisme alimentaire est une affection neurologique grave provoquée par une toxine produite par la bactérie Clostridium botulinum. Les aliments les plus souvent impliqués sont les charcuteries, les conserves et les salaisons de fabrication familiale ou artisanale.

Le botulisme est une affection neurologique grave provoquée par une toxine produite par la bactérie Clostridium botulinum qui se développe notamment dans les aliments mal conservés. En France, la majorité des cas de botulisme sont liés à des aliments conservés n’ayant pas subi de processus poussé de stérilisation : salaisons, charcuteries ou encore conserves d’origines familiale ou artisanale.

C'est une maladie rare mais pouvant être sévère si le traitement n’est pas précoce (5 à 10% de décès) dont le temps d’incubation est de quelques heures à quelques jours. 

Qui peut développer la maladie ? 

Toute personne ayant ingéré des aliments contaminés par des toxines botuliques (aliments mal conservés,
le plus fréquemment dans des conserves et salaisons de fabrication familiale ou artisanale, ou de la grande distribution).

Quels sont les symptômes ? 


Des conseils pour l'éviter 


ELECTIONS DES REPRESENTANTS DE PARENTS D'ELEVES


Élection des représentants de parents d'élèves les 11 et 12 octobre 2024

Publié le 26 septembre 2024 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Dans les écoles, les collèges, les lycées ou les établissements d'éducation spéciale, chaque année les parents d'élèves sont invités à élire ceux qui vont les représenter au sein des instances scolaires. Pour l'année scolaire 2024-2025, ces élections ont lieu le vendredi 11 octobre ou le samedi 12 octobre 2024 dans la majeure partie du pays.

 


Les parents d’élèves sont des membres à part entière de la communauté éducative, selon le Code de l’éducation. Ainsi, les élections des représentants de parents d’élèves sont un temps fort de l'année scolaire ; elles permettent d'installer un véritable lien entre les familles et l'école, et elles sont l’amorce d’une relation de confiance entre membres de la communauté éducative. Ces représentants sont notamment chargés de faciliter les relations entre les parents d'élèves et les personnels de l'établissement ; ils peuvent intervenir auprès du directeur de l’établissement pour évoquer un problème particulier, ou pour assurer une médiation à la demande des parents concernés.

Tous les ans, les élections des représentants des parents d'élèves ont lieu avant la fin de la 7e semaine de l'année scolaire dans tous les établissements (écoles primaires, collèges et lycées, établissements d'éducation spéciale). En 2024, elles se tiendront :

  • le vendredi 11 octobre ou le samedi 12 octobre ;
suite de l'article c'est ICI