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vendredi 2 août 2013

Révision liste électorale

A compter du 1er septembre, vous pouvez vous inscrire sur les listes électorales de la commune.

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CONDITIONS POUR ETRE INSCRIT SUR UNE LISTE ELECTORALE

7. Pour être inscrit sur la liste électorale d’une commune, deux conditions cumulatives sont nécessaires :
a) – Il faut avoir la qualité d’électeur ;
b) – Il faut avoir une attache avec la commune.
A. Qualité d’électeur
8. Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français, majeurs, des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques (art. 3-4ème alinéa de la Constitution et L. 2)
1) Preuve de la nationalité française
9. Sous réserve des dispositions permettant aux étrangers ressortissants des États membres de l’Union européenne de participer aux élections municipales et aux élections des représentants au Parlement européen (cf. titre II ci-après), l’exercice du droit de vote est subordonné à la possession de la nationalité française.
10. Pour établir la preuve de sa nationalité, le demandeur doit présenter l’original ou la copie de sa carte nationale d’identité ou de son passeport, documents en cours de validité ou dont la validité a expiré dans l’année précédant le dépôt de la demande d’inscription (cf. arrêté du 19 décembre 2007 pris en application de l’article R. 5 et R. 60 du code électoral).
A défaut d’un tel document, les services municipaux peuvent demander à l’intéressé de produire un certificat de nationalité délivré par le greffe du tribunal d’instance.
11. Pour les personnes qui viennent d’acquérir la nationalité française, la preuve de la nationalité peut également être établie par un décret de naturalisation, lequel prend effet à la date de sa signature (article 51 du décret n° 93-1362 du 30 décembre 1993 modifié).
La preuve d'un décret de naturalisation ou de réintégration dans la nationalité française résulte de la production de l'ampliation de ce décret.
Lorsque cette pièce ne peut être produite, il peut y être suppléé par la production de la copie intégrale de l'acte de naissance de l'intéressé, de l'extrait de cet acte ou du livret de famille délivré par les autorités françaises, sur lequel figure la mention du décret de naturalisation ou de réintégration dans la nationalité française en application de l'article 28 du code civil.
A défaut, la naturalisation peut être prouvée par la production d'une attestation constatant l'existence du décret, délivrée par le ministre chargé des naturalisations à la demande de l'intéressé, de son représentant légal ou des administrations publiques françaises (article 52 du décret n° 93-1362 du 30 décembre 1993 modifié).
La demande d’inscription sur les listes électorales peut donc être déposée dès la publication du décret de naturalisation au Journal officiel.
Si l’intéressé n’a toutefois eu connaissance du décret de naturalisation qu’au-delà du 31 décembre, bien que celui-ci ait été publié avant cette date, il pourra néanmoins s’inscrire au delà de la période normale de révision dans les conditions visées à l’article L. 30 du code électoral (cf paragraphe 141, point 4°)
2) Preuve de l’identité du demandeur
12. Seuls les électeurs ne pouvant produire de carte nationale d’identité ou de passeport doivent apporter la preuve de leur identité.
13. Pièces à fournir. La mairie doit exiger la présentation de l’original ou de la copie d’une des pièces suivantes, permettant de prouver ainsi l’identité du demandeur (arrêté NOR: IOCA0771885A du 19 décembre 2007)
1° Carte d’identité de parlementaire avec photographie, délivrée par le président d’une assemblée parlementaire ;
2° Carte d’identité d’élu local avec photographie, délivrée par le représentant de l’État ;
3° Carte du combattant de couleur chamois ou tricolore ;
4° Carte d’invalidité civile ou militaire avec photographie ;
4° Carte d’identité de fonctionnaire de l’État avec photographie ;
5° Carte d’identité ou carte de circulation avec photographie, délivrée par les autorités militaires ;
6° Permis de conduire ;
7° Permis de chasser avec photographie, délivré par le représentant de l’État ;
8° Livret de circulation, délivré par le préfet en application de la loi n° 69-3 du 3 janvier
1969 (le carnet de circulation a été supprimé par le Conseil Constitutionnel dans sa décision n° 2012-279 QPC du 05 octobre 2012).
9° Récépissé valant justification de l’identité, délivré en échange des pièces d’identité en
cas de contrôle judiciaire, en application du neuvième alinéa (7°) de l’article 138 du code de procédure pénale ;
10° Attestation de dépôt d’une demande de carte nationale d’identité ou de passeport, délivrée depuis moins de trois mois par une commune et comportant une photographie d’identité du demandeur authentifiée par un cachet de la commune.
Ces titres doivent être en cours de validité, à l’exception de la carte nationale d’identité ou du passeport qui peuvent être périmés sous réserve que leur validité ait expiré dans l’année précédant le dépôt de la demande d’inscription.
14. Noms figurant sur les listes électorales. Tout électeur figure sur la liste électorale sous son nom de naissance (nom de famille). Il peut toutefois demander que soit ajouté sur la liste électorale son nom d’usage (par exemple son nom marital) après son nom de naissance, dans les conditions définies par la circulaire du 26 juin 1986 du Premier ministre (Journal officiel du 3 juillet 1986). Le nom d’usage devra impérativement être porté entre parenthèses après le nom de naissance ou sur une ligne distincte (cf. annexe I de la circulaire du 26 juin 1986). Aucun cumul ou combinaison entre les différents noms d’usage n’est possible.
Une personne peut signaler à la mairie un changement intervenu dans sa situation de famille si ce changement comporte des conséquences quant à son nom d’usage tel qu’il figure sur la liste électorale. Si, en revanche, elle n’entreprend aucune démarche à ce titre, la commission administrative ne peut procéder de sa propre initiative à la modification correspondante.
Tous les noms doivent être inscrits en lettres majuscules. Tous les signes utilisés en français modifiant la prononciation ou le sens des lettres ou des mots doivent également être reproduits sur la liste électorale
3) Condition d’âge
15. L’âge requis pour être électeur est fixé à 18 ans accomplis (art. L. 2).
16. En cas d’inscription pendant la période normale de révision des listes, la condition d’âge s’apprécie à la date de clôture des listes électorales, c’est-à-dire au dernier jour de février (art. L. 11, avant-dernier alinéa).
Dans le cas d’une personne née le 29 février, il convient d’admettre qu’elle atteindra sa majorité au dernier jour de février de l’année de son dix-huitième anniversaire qui peut être un 28 février.
17. En cas d’inscription en dehors de la période normale de révision (art. L. 11-2, L. 30 et
L. 34), la Cour de cassation (Cass. 2ème civ., 19 mai 2005, n° 05-60174) a jugé que la condition de majorité devait être acquise au plus tard à minuit la veille du jour du scrutin. Une personne dont le dix-huitième anniversaire coïncide avec la date du scrutin n’est donc pas âgée de 18 ans accomplis.
4) Jouissance des droits civils et politiques (incapacités électorales)
18. Les personnes frappées d’une incapacité électorale permanente ou temporaire ne peuvent être électeurs.
La condamnation à une peine de prison n’entraîne pas, par elle-même, la perte des droits civils et politiques. Le maintien ou l’inscription sur les listes électorales demeure donc possible, sauf condamnation à une privation de ces droits.
19. Les règles applicables aux incapacités électorales sont les suivantes :
1°. Majeurs sous tutelle : aux termes de l’article L. 5, modifié par la loi n° 2007-308 du
5 mars 2007 (art. 12 et 45) portant réforme de la protection juridique des majeurs, et applicable depuis le 1er mars 2009, le juge statue désormais, à chaque ouverture ou renouvellement de tutelle, sur le maintien ou le retrait du droit de vote.1
Les majeurs sous tutelle n’ont donc plus à demander expressément l’autorisation de voter, le juge des tutelles devant obligatoirement se prononcer sur le maintien ou le retrait du droit de vote, à chaque ouverture ou renouvellement de tutelle.
2°. Majeurs sous curatelle : ils peuvent librement s’inscrire sur les listes électorales. La curatelle ne restreint, en effet, la capacité électorale qu’en ce qui concerne la détention des mandats électifs.
3°. Condamnations pénales assorties d’une interdiction du droit de vote et d’élection : aux termes de l’article L. 6, les personnes auxquelles les tribunaux ont interdit le droit de vote et d’élection ne doivent pas être inscrites sur les listes électorales. La mise en œuvre de l’article L. 6 ne peut résulter que d’une décision expresse de la juridiction qui la prononce et en fixe la durée. La condamnation doit en outre être devenue définitive et ne pas être assortie du sursis.
20. Les condamnations prononcées à l’étranger à l’encontre des citoyens français n’entraînent aucune incapacité électorale.
21. Le point de départ de l’incapacité électorale court à compter de la date à laquelle la condamnation est devenue définitive, c’est-à-dire lorsque les voies de recours (opposition, appel, pourvoi en cassation) sont épuisées ou lorsque les délais que la loi ouvre pour former les recours sont expirés.
22. L’incapacité électorale prend fin à l’extinction de la peine ou par la grâce, la réhabilitation, l’amnistie, la dispense d’inscription de la condamnation au bulletin n° 2 du casier judiciaire, le relèvement de l’incapacité, l’expiration du délai de sursis non révoqué ou la suspension de peine.
Les personnes jusqu’alors privées de leurs droits électoraux doivent nécessairement demander leur réinscription sur les listes électorales desquelles ils avaient été radiés.
23. Pour mémoire, les dispositions de l’article L. 7 ont été abrogées par décision du Conseil constitutionnel du 11 juin 2010. Les personnes qui auraient été condamnées pour les infractions pénales relevant jusqu’alors de l’article L. 7 (concussion, corruption passive et trafic d’influence par des personnes exerçant une fonction publique, prise illégale d’intérêts, atteinte à la liberté d’accès et à l’égalité des candidats dans les marchés publics et les délégations de service public, soustraction et détournement de biens, corruption active et trafic d’influence) doivent nécessairement se réinscrire sur les listes électorales, dans les conditions du droit commun, pour recouvrer leur droit de vote.

Attache avec la commune
24. La demande d’inscription doit permettre de justifier que le demandeur dispose d’une attache avec la commune. Il peut s’agir du domicile, d’une résidence ou de la qualité de contribuable. Les pièces justificatives du domicile ou de la résidence doivent avoir moins de trois mois (arrêté NOR: IOCA0771885A du 19 décembre 2007).
25. Pour certaines catégories de demandeurs, le rattachement à la commune peut l’être au titre de leur situation particulière (gens du voyage, mariniers, militaires, SDF….)
1) Domicile dans la commune
26. Définition. L’inscription au titre du domicile permet de ne pas avoir à justifier de six mois de résidence. L’article L. 11 1° fait référence au « domicile réel » dans la commune. La jurisprudence de la Cour de cassation estime que le domicile réel est, au sens de l’article 102 du code civil, le lieu où une personne a « son principal établissement », c’est-à-dire son lieu
d’habitation réel (Cass. 2ème civ., 4 mars 2008, n° 08.60206).
On ne peut ainsi avoir qu’un seul domicile. Le domicile est personnel.
Les liens matériels et moraux, pécuniaires et sentimentaux ne caractérisent pas le domicile réel au sens de l’article L. 11 1° et ne doivent pas être pris en considération (Cass. 2ème civ.,2 mars 2001, n° 01-60226).
Ne sont également pas assimilables au domicile les locaux d’une société dirigée par l’intéressé (Cass. 2ème civ., 2 mars 1977, n° 77-630).
27. Situation des conjoints : le fait d’être marié ne constitue pas à lui seul un motif suffisant pour obtenir l’inscription, au titre du domicile, sur la même liste électorale que le conjoint (Cass..2ème, civ., 22 mars 1987 n° 07-60050), deux époux n’ayant pas nécessairement le même domicile.
28. Un jeune majeur, faute de déclaration d’un domicile propre, garde le domicile de sa minorité, s’il n’exerce aucune activité lucrative et ne peut se suffire à lui-même (Cass. 2ème civ.,16 décembre 1982, n° 81-10452).
29. Preuve du domicile. La réalité du domicile peut être établie par tous moyens propres à emporter la conviction de la commission administrative. Les pièces les plus couramment admises sont les suivantes :
– quittance ou facture de moins de trois mois établie au nom de l’électeur par un ou plusieurs organismes de distribution d’eau, de gaz, d’électricité ou de téléphone, fixe ou portable, et correspondant à une adresse située dans la commune ;
– avis d’imposition quel qu’il soit, bulletin de salaire ou titre de pension adressé à un domicile situé dans la commune ;
– certificat d’hébergement : ceux qui sont établis par le père ou la mère peuvent être accueillis en l’état. En revanche, un certificat d’hébergement établi par toute autre personne doit être complété par un justificatif établissant la preuve de l’attache du demandeur avec la commune
(ex : un bulletin de salaire récent ou tout autre document sur lequel figure l’adresse de la personne hébergée).
30. Les personnes vivant dans un habitat mobile (caravane, bateau, péniche, mobil-home…) doivent également apporter la preuve de la réalité de leur domicile en fournissant le même type de justificatif de nature à emporter la conviction de la commission administrative.
31. Certaines circonstances emportent automatiquement fixation du domicile dans un lieu déterminé :
- les majeurs qui servent ou travaillent habituellement chez autrui et cohabitent avec leurs employeurs ont le même domicile que ces derniers (art. 109 du code civil) ;
- l’acceptation de certaines fonctions entraîne translation immédiate du domicile au lieu où ces fonctions sont exercées (notamment membres du corps préfectoral, magistrats du siège, notaires [cf. art. 107 du code civil]).
2) Résidence dans la commune
32. Définition. Contrairement à la notion de domicile qui est le lieu où l’on se situe en droit, la notion de résidence correspond à une situation de fait. Elle résulte du fait d’habiter, au moment de la demande, de manière effective et continue dans la commune. Dans la plupart des cas, domicile et résidence se confondent, mais pas toujours.
L’occupation d’une « résidence secondaire » n’est pas considérée comme une résidence réelle et continue dès lors qu’elle n’est dédiée qu’aux temps de loisirs, tels notamment que les fins de semaine ou les vacances. (Cass. 2ème civ., 11 mars 2010, n° 10-60150.10-60162). De même, la résidence doit avoir le caractère d’une habitation, le seul fait de travailler dans la commune ne satisfaisant pas aux exigences légales (Cass. 2ème civ., 7 mai 1997, Mme Aillot-Bernay).
La résidence peut être établie par tous moyens propres à emporter la conviction de la commission (quittances de loyer, factures, enveloppes postales, etc.).
33. Durée de six mois minimum. La durée de la résidence doit être de six mois au moins. Il suffit toutefois que cette durée de six mois soit accomplie au jour de la date de clôture des listes électorales, c’est-à-dire au dernier jour de février de l’année suivant le dépôt de la demande d’inscription.
En pratique, il faut donc que le demandeur ait commencé à résider dans le périmètre du bureau de vote au plus tard le 1er septembre de l’année en cours (Cass. 2ème civ., 23 février 1983, Rouve).
34. Résidence obligatoire des fonctionnaires Les fonctionnaires assujettis à une résidence obligatoire dans une commune peuvent être inscrits sur les listes électorales de cette commune. Ils ne sont pas soumis au délai de six mois (cf. art L. 11, 3°). Les fonctionnaires concernés doivent justifier de leur qualité par une carte professionnelle ou par une attestation de l’administration et prouver qu’ils résident effectivement dans le ressort du bureau de vote (Cass. 2ème civ., 5 mars 2008, n° 08-60215)

3) Qualité de contribuable
35. Définition. Possède cette qualité toute personne qui, l’année de la demande d’inscription, figure pour la cinquième fois, sans interruption, au rôle d’une des contributions directes communales (art. L. 11, 2°).
Les contributions auxquelles il est fait référence sont : la taxe d’habitation, les taxes foncières (sur les propriétés bâties et non bâties) et la cotisation foncière des entreprises (CFE) qui a remplacé la taxe professionnelle.

OUVERTURE ET CLOTURE DE LA CHASSE - Saison 2013-2014

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jeudi 1 août 2013

épisode caniculaire !!!

Par ces fortes chaleurs, il est très important d'adopter des comportements adaptés aux chaleurs de l'été



De simples recommandations pratiques permettent de mieux vivre ces fortes chaleurs. Les personnes les plus fragiles sont les nourrissons, les personnes âgées et les personnes handicapées que la chaleur expose au coup de chaleur et à la déshydratation.

10 conseils pour prévenir les risques  
  • Boire au minimum de 8 à 14 verres d’eau  même sans avoir soif, sauf contre-indication médicale : eau plate, eaux gazeuses , thé ou café léger, sirop dilué dans de l’eau 
  • Ne pas consommer d’alcool qui augmente la déshydratation 
  • Eviter les sorties et les activités physiques aux heures les plus chaudes de la journée (surtout entre 12h et 16h)
  • Eviter les expositions au soleil entre 10h et 17h
  • Maintenir son logement frais notamment en fermant fenêtres et volets la journée et en aérant aux heures les plus fraîches de la nuit
  •  Maintenir son corps et son visage humidifiés par des moyens simples (douches, brumisateurs, gant de toilette mouillé)
  • Manger des fruits et légumes pour leurs sels minéraux et des protéines 
  • Si possible passer 2 ou 3 heures dans un endroit frais (endroit climatisé, ombragé à proximité de votre domicile)
  • Pour sortir : porter un chapeau, des vêtements légers (coton) et amples de couleur claire, utiliser une crème écran solaire et amener avec soi une bouteille d’eau
  • Enfin pour les personnes les plus fragiles : s’inscrire sur le registre des personnes fragiles en appelant sa mairie et ne pas hésiter à demander de l’aide si vous en avez besoin pour vous même ou une personne de votre entourage.
Les signes d’alerte qui permettent de déceler une déshydratation sont la fièvre, la pâleur, la somnolence ou l’agitation inhabituelle, il faut donner immédiatement à boire, faire baisser la fièvre et alerter le médecin traitant.

Pour préserver les personnes les plus fragiles, un dispositif de veille sanitaire "canicule" dit plan canicule national (PNC) est également mis en place. Il a été actualisé en 2013 pour coordonner les niveaux d’alerte avec les niveaux de vigilance météorologique assurée par Météo France dont les informations sont accessibles sur le site www.meteofrance.com
Le PNC 2013 mis en place et décliné également sur le plan régional et départemental propose donc 4 niveaux d’alerte au lieu des 3 précédemment prévus.
Le niveau 1 de "veille saisonnière" correspond à la couleur verte de la carte vigilance météo. Automatiquement déclenché depuis le 1er juin dernier, il restera actif jusqu’au 31 août 2013. Il consiste notamment à repérer les personnes vulnérables et à vérifier la fonctionnalité des dispositifs de surveillance et de mobilisation en cas de forte chaleur. Le centre d’appel téléphonique national d’informations et de recommandations est joignable au 0800 06 66 66 du lundi au samedi de 8h00 à 20h00 (appel gratuit depuis un poste fixe).
Le niveau 2 d’"avertissement chaleur" répond au passage en jaune de la carte de vigilance météo. Il permet, à l’apparition de pics de chaleur, la mise en œuvre de mesures graduées et la préparation à une montée en charge des mesures de gestion par les Agences Régionales de Santé (ARS), en renforçant des actions de communication locales et ciblées, en particulier la veille des week-end et de jour férié.
Le niveau 3 d’"alerte canicule" répond lui au passage en orange de cette carte météo. Il pourra être déclenché par le Préfet qui active le plan de gestion départemental de canicule (PCGD). A ce niveau, des actions de prévention et de gestion sont mises en place de façon adaptée à l’intensité et à la durée du phénomène (déclenchements des plans bleus dans les hôpitaux, mobilisation de la permanence de soins ambulatoires, activation par les mairies des registres communaux avec aide aux personnse âgées et handicapées isolées qui y sont recensées, etc…).
le niveau 4 de "mobilisation maximale" répond au passage en rouge et sera activé par le Premier Ministre, sur avis du Ministre chargé de la Santé et du Ministre de l’Intérieur, en cas de canicule intense et étendue sur une large partie du territoire et associée à des phénomènes dépassant le champ sanitaire (sécheresse, pannes d’électricité, feux de forêt, saturation des hôpitaux).

Quelques numéros et adresses utiles
Plate-forme téléphonique "Canicule info service" 0800 06 66 66
de 8h à 20h du lundi au samedi (appel gratuit depuis un poste fixe)
www.meteofrance.com
www.inpes.sante.fr

En cas d’urgence, de signes de gravité, troubles de la conscience, refus de boire, température corporelle supérieure à 40° appelez :
15 SAMU
18 POMPIERS
112 n° d’urgence unique européen
 

Compte-Rendu Réunion du Conseil Municipal du 26 juillet 2013



Département de l’INDRE
Arrondissement de CHATEAUROUX
Canton de LEVROUX
-----------
Commune de ROUVRES-LES-BOIS
----------
proces verbal
sÉANCE du 26 juillet   2013
----------
Lecture et approbation  du PROCES-VERBAL  du Conseil Municipal du  10 juin  2013
Date de la convocation
:      22 juillet 2013 
Date d'affichage:                  01 août  2013                   
Nombre de conseillers en exercice :      10
Nombre de conseillers présents
:          06
Nombre de suffrages exprimés
:            07
L’an deux mille treize, le vingt six juillet, à vingt heures trente minutes, le Conseil Municipal de la Commune de ROUVRES-LES-BOIS, légalement convoqué s’est réuni en séance publique, en mairie, sous la présidence de Monsieur Gérard QUINT, maire.
Etaient présents : Gérard QUINT,  Jean-Michel GUILLEMAIN, Dominique PINSON,  Karine DE HENAU, Madeleine PIERRY, Laurence BLANCHARD
Absent  excusé :   Jean-Claude GORIUS qui a donné pouvoir à Dominique PINSON
Absents non excusés , Hubert MAUBERT, Fabien RIOLAND, Marie-Hélène KOUROUNIS
Madame Karine DE HENAU  a été désignée secrétaire de séance.

OBJET : 2013-033 du 26/07/2013
Contrat d’apprentissage
Monsieur le maire donne lecture d’un courrier sollicitant une demande d’apprentissage en BAC PRO NJPF formation Aménagement paysager au sein de notre collectivité locale.
VU le Code Général des Collectivités Territoriales,
VU la Loi n°92-675 du 17 juillet 1992 portant diverses dispositions relatives à l’apprentissage, à la formation professionnelle et modifiant le code du travail, notamment ses articles 18 à 21 ; modifiée par la Loi.
VU le décret n°92-1258 du 30 novembre 1992  portant diverses dispositions relatives à l’apprentissage et son expérimentation dans le secteur public, pris en application de la loi n°92-675 du 17 juillet 1992 susvisée ;
VU le décret n° 92-162 du 02 février 1993 relatif à la rémunération des apprentis dans le secteur public non industriel et commercial,
Dans le cadre d’un partenariat avec le CFAAD situé Rte de Velles 36018 CHATEAUROUX Cedex,
CONSIDÉRANT que l’apprentissage permet à des personnes âgées de 16 à 25 ans ou 15 ans pour un jeune à la sortie de 3ème ayant accompli  la scolarité du premier cycle de l’enseignement secondaire (sans limite d’âge supérieure d’entrée en formation concernant les travailleurs handicapés) d’acquérir des connaissances théoriques dans une spécialité et de les mettre en application dans une entreprise ou une administration ; que cette formation en alternance est sanctionnée par la délivrance d’un diplôme ou d’un titre ;
CONSIDÉRANT que ce dispositif présente un intérêt tant pour les jeunes accueillis que pour les services accueillants, compte tenu des diplômes préparés par les postulants et des qualifications requises par lui ;
CONSIDÉRANT qu’il revient au Conseil municipal de délibérer sur la possibilité de recourir au contrat d’apprentissage ;
Le contrat d’apprentissage permettrait au jeune apprenti d’être formé au BAC PRO AMÉNAGEMENTS  PAYSAGERS.
CONSIDÉRANT que l’agrément demandé en 2010 auprès de l’Unité Territoriale de l’Indre de la Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi de la région Centre est toujours valable et de ce fait les deux agents titulaires à la voirie peuvent être maître d’apprentissage et qu’ils seront chargés de suivre le jeune apprenti recruté durant la période du contrat.
Après en avoir délibéré, le Conseil municipal, à l’unanimité des membres présents par  7 pour, 0 contre et 0 abstention :
·         Décide d’ouvrir un emploi sous contrat d’apprentissage pour une durée de trois ans à compter du 1er septembre 2013 ;
·         Autorise monsieur le maire à signer un contrat d’apprentissage du secteur public avec le jeune apprenti et le CFAAD de Châteauroux ;
·         Sollicite auprès de l’Etat, de la Région ou du Département, les aides financières éventuelles dans le cadre de cette embauche.
·         DIT que les crédits nécessaires seront inscrits par décision modificative au budget principal 2013 au chapitre 64, article 6417 ;
·         DIT que cette délibération devra être transmise au Centre de Gestion de l’Indre pour notification au  CTP ;
·         AUTORISE Monsieur le Maire à signer tout document relatif à ce dispositif et notamment le contrat d’apprentissage ainsi que les conventions conclues avec le Centre de Formation des Apprentis Agricole de l’Indre.

OBJET : 2013-034 du 26/07/2013
DM N°1-2013 MANQUE CREDIT AU CPTE 6417 APPRENTIS


 OBJET : 2013-035 du 26/072013
DISSIMULATION  RESEAUX ELECTRIQUES ET TÉLÉPHONIQUES
ET ECLAIRAGE PUBLIC – SECTEUR EGLISE
DEMANDE DE SUBVENTIONS
Monsieur le maire rappelle le projet de dissimulation des réseaux électriques et téléphoniques ainsi que la dissimulation de l’éclairage public et la fourniture et la pose de nouveaux candélabres dans le secteur de l’église.
Il présente les devis pour ces travaux de dissimulation des réseaux.
-          DEVIS SDEI                           33 012.00 € HT
-          DEVIS ORANGE                  37 821.60 € HT
-          DEVIS CITEOS                     23 198.00 € HT
Après en avoir délibéré, le conseil municipal :
  • Autorise le maire à signer les devis acceptés,
  • Décide de solliciter des subventions auprès de :
    • La Région Centre dans le cadre du dispositif espaces publics Cœur de Village, une subvention à hauteur de 30 %,
    • Du Conseil Général de l’Indre au titre du FAR 2014, une subvention à hauteur de 30 %,
    • De Madame Isabelle BRUNEAU,  Députée de l’Indre dans le cadre du fonds parlementaire, une subvention à hauteur de 20 %,Selon le plan de financement suivant :
Coût des travaux

Montant HT
Montant HT arrondi à

DEVIS SDEI
33 012,00
33 012,00

DEVIS ORANGE
37 821.60
38 000,00

DEVIS CITEOS
23 198,00
23 198,00

TOTAL
94 031,60
94 210,00
100 %
SUBVENTIONS SOLLICITÉES
REGION CENTRE
Cœur de village
28 263,00 €
30 %
CONSEIL GÉNÉRAL
FAR 2014
28 263,00 €
30 %
ÉTAT (Députée)
Fonds parlementaire
18 842,00 €
20 %
Autofinancement

18 842,00 €
20 %
TOTAL HT
94 210,00 €
100 %
  • Dit que les crédits nécessaires sont prévus au budget en cours au cpte 217534 ;
  • Autorise Monsieur le maire à signer les documents nécessaires à ce projet ;
OBJET : 2013-036 du 26/07/2013
Modalités d’octroi de cadeaux à l’occasion du départ
d’un agent communal
VU le Code Général des Collectivités Territoriales,

CONSIDERANT la nécessité d’adopter une délibération pour l’octroi d’un cadeau réalisé par la Collectivité :
Monsieur le maire expose aux membres du conseil municipal présents :
La commune, afin de pouvoir offrir des cadeaux au personnel communal, doit prendre une délibération décidant de l’octroi de cadeaux aux agents.
L’idée générale avancée par la municipalité est de pouvoir remercier l’agent partant, ayant donné entière satisfaction dans sa fonction, pour tous les services rendus à la collectivité durant sa présence au sein de la commune.
Il est donc proposé aux membres du Conseil Municipal de délibérer afin d’offrir un cadeau aux agents titulaires et non titulaires partant à la retraite ou terminant un contrat à durée déterminée et ayant donné entière satisfaction dans sa fonction.
Le cadeau qui sera sous forme d’un bien, bien culturel, bien d’équipement, tel qu’électroménager, ordinateur, téléviseur, mobilier etc…. (liste non exhaustive) ou sous forme de bons d’achat, chèques cadeau, sera d’une valeur comprise entre 50 € et 300 €. Trois Cent Euros (300 €) sera la somme maximum attribuée à un agent ayant effectué une carrière longue dans la collectivité.
Le conseil municipal ouïe l’exposé du maire et après en avoir délibéré

-          Décide de valider le principe d’un cadeau offert aux agents titulaires ou non titulaires partant à la retraite ou quittant la collectivité à la fin d’un contrat et ayant donné entière satisfaction, dans la limite de 300,00 €,
-           Autorise le Maire ou son représentant à signer tout document découlant de cette décision.
-          Rappelle que les crédits sont prévus à l’article 6232 « Fêtes et cérémonies » du budget principal 2013.

OBJET : 2013-037 du 26/07/2013
DM N°2-2013 MANQUE CREDIT AU CHAPITRE 16



QUESTIONS DIVERSES
Proposition acquisition de terrains
Monsieur le maire donne lecture d’un courrier de Mr et Mme BACIGALUPI proposant de vendre à la commune leur parcelle cadastrée ZY 62.
Le conseil municipal à l’unanimité des membres présents ne souhaite pas pour le moment donner une suite favorable, cette acquisition ne rentre pas dans le cadre des projets de la commune.

ASSAINISSEMENT
Les membres de la commission assainissement souhaite incorporer dans le Schéma Directeur d’Assainissement les parties du bourg que l’on souhaitera faire dans les 5 années à venir ; sinon la municipalité sera obligé de refaire une révision du SDA et une nouvelle enquête publique ; tout en expliquant à la population que les travaux se feront en plusieurs tranches.
Plusieurs possibilités sont envisagées par les élus pour que le projet soit viable :

-          Allonger la durée du prêt,
-          Réduire le zonage retenu en assainissement collectif,
-          Fixer une taxe de raccordement de 500 € maxi TTC, pour ne pas pénaliser les ménages à faible revenu,
-          Fixer une taxe annuelle fixe à 50 € TTC.
Prévoir dans les dossiers de consultation deux systèmes de traitement des eaux usées : roselière et lagunage, ne pas faire un choix non réfléchi et trop précipité.
Le conseil décide de se laisser encore un temps de réflexion pour étudier différentes possibilités et ne pas se précipiter.
Le conseil municipal souhaite revoir le dimensionnement de la station d’épuration afin de ne pas surestimer les équivalents habitants et de ce fait avoir ou non un contrôle et ou une autorisation des services de la Police de l’Eau.

Commémoration du 30 août
Monsieur le maire informe le conseil qu’il a commandé 50 galettes de plus pour le vin d’honneur de la commémoration du 30 août prochain.

Festiv’arts
Il est rappelé que le programme Festiv’arts aura lieu Samedi 24 août 2013 à 20 h 00 à l’étang communal de Rouvres-Les-Bois. Il y aura besoin de bénévoles.

Caméléon Production
Monsieur le maire rappelle que la Compagnie  Caméléon  Production viendra présenter son spectacle « Le Roi de la Forêt » le samedi 12 octobre 2013 à partir de 20 h 30 à la salle polyvalente.
Le conseil propose de faire payer les entrées.
Il est rappelé que la règle de l’opération « Musique et Théâtre au Pays » est la gratuité, puisque les spectacles sont entièrement financé par le Conseil Général de l’Indre et la Région Centre. Reste à la charge de la municipalité les frais de publicité, de transports, de repas et d’ébergement éventuels.

Clôture Pourchasse
Madame POURCHASSE a fait part à Monsieur le maire des soucis avec sa clôture. En effet, des enfants passent par-dessus et l’écrase pour aller derrière l’église.


L’ordre du jour étant épuisé, Monsieur le Maire lève la séance à vingt deux  heures trente minutes
Fait et délibéré en Mairie, le jour, mois et an que dessus.



MAIRIE DE ROUVRES LES BOIS

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ROUVRES-LES-BOIS, INDRE, France
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